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Le portrait d’Olivier Letort – Ideuzo

Olivier Letort

Du « Paysan Nantais » au Leader du Recrutement en France

On l’a surnommé le « paysan nantais ».

Ceux qui riaient n’auraient jamais parié sur lui.

Aujourd’hui, il domine le marché du recrutement en France.

L’histoire d’Olivier Letort, c’est celle d’une ascension improbable.

Un parcours semé de défis et de réussites.

 

Le démarrage d’Olivier

 

Il commence en tant que commercial à Nantes en 2000 chez Email Jobs, un site emploi. Alors qu’à ce moment là, à peine une personne sur deux avait internet.

C’est là qu’il découvre le potentiel d’internet dans le recrutement.

Puis, encouragé par une amie qui lui promet un meilleur salaire (il lui demande même sa fiche de paie pour vérifier ! ), il rejoint Keljob. C’est là qu’il rencontre ses futurs associés, Ivan et Olivier.

Chez Keljob, Olivier se distingue. Il recrute, apprend, dirige. Mais en 2006, après une fusion avec Cadremploi, il quitte son poste.

Et en 2007, avec deux associés, Ivan Orgebin et Olivier Pilon, il se lance. Ideuzo est né. Ils ont tout à prouver.

A ce moment là, Olivier vient d’avoir son quatrième enfant.

Il est le seul soutien de sa famille. Il n’a pas de plan B. Il doit réussir.

 

Ideuzo et LinkedIn, une histoire d’amour

 

Avec presque rien, ils décrochent leurs premiers contrats. En 2010, ils embauchent leur première collaboratrice, Aurore Ménard. Puis, ils ouvrent Paris, puis Lyon.

Mais c’est en 2012 qu’ils prennent un tournant décisif : ils deviennent les premiers en France à vendre LinkedIn pour le recrutement. Visionnaire. Une intuition qui les propulse au sommet.

Dix ans plus tard, ils dominent le marché en France et en Europe.

Le chiffre d’affaires bondit de 7 à presque 100 millions d’euros.

Une mission qui s’est transformée en succès.

 

Le décollage d’Ideuzo

 

Aujourd’hui, Ideuzo, c’est 70 salariés, 100 millions d’achats, et une mission.

Pour Olivier, ses collaborateurs sont au cœur de tout.

« Sans eux, je ne serais rien. »

Il n’y a pas de pyramide chez Ideuzo et Olivier aime comparer l’entreprise à un arbre :

Lui, il est les racines. Ses collaborateurs, les branches.

Et cet arbre continuera de grandir bien après lui.

Aujourd’hui, ses deux obsessions : l’Europe et la transmission.

Transmettre à ceux qui ont fait grandir Ideuzo.

 

Affaire à suivre donc car le paysan nantais est prêt à écrire un nouveau chapitre !